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Le monde du vivant des CE1-1

Depuis la rentrée nous avons travaillé sur L’Arbre de vie en partant de nos prénoms signés, de leur signification.

Nous avons traversé la Toussaint puis Noël. Cet arbre s’enrichit au cours des saisons et du calendrier liturgique.

Journée de certification – juges gym

Le 18 janvier dernier, les licenciées de l’Association Sportive Gymnastique ont été accueilli par le lycée de Sceaux dans le cadre de la formation certificative en tant que jeune juge (UNSS).

Cette journée fut riche en rencontres et en apprentissages pour toutes les élèves présentes, qui ont pu progresser grâce aux différents intervenants et aux autres participantes. Beaucoup d’entre elles ont pu valider une certification, de différents niveaux (district, départemental et académique), valorisant leur engagement et leur pratique associative. Ces validations leur permettront de pouvoir participer à différentes compétitions et de poursuivre éventuellement dans leur pratique personnelle.

Conférence – le traitement de l’image

Nous avons eu la chance d’être présents à la conférence de Tina NIKOUKHAH sur l’algorithme mathématique qu’elle a créé détectant les photomontages.
Lors de cette conférence, Tina Nikoukhah nous a expliqué son parcours depuis le Bac jusqu’à aujourd’hui et aussi son travail de chercheuse, qui est de détecter les images falsifiées. Pour cela, elle nous a expliqué comment était représentée une image ainsi que toutes les étapes qui permettent la création d’une image et les différentes manières de falsifier une image. Pour détecter si une image est faussée ou non, elle nous a expliqué qu’il fallait la dériver, car une image est représentée par une fonction qui peut donc être dérivée. Pour cela, elle nous a expliqué les étapes qui composent la création d’une photo, de sa prise de vue à son affichage sur un appareil en passant notamment par la compression. C’est cette étape, consistant à compresser la photo, qui laisse une sorte de « pliage » sur la photographie et qui permet alors au logiciel de détecter les fausses images.
Il y a aussi plusieurs applications qui détectent les ajouts ou les retraits d’éléments ou encore les filtres.
Cette conférence était enrichissante car elle m’a permis de découvrir en quoi consistait le traitement d’image ainsi que son fonctionnement.
Lors de la conférence de Tina Nikoukhah, j’ai pu découvrir le fonctionnement de la photographie, des différentes étapes qui la compose jusqu’à l’obtention de l’image après traitement.
Je ne savais personnellement pas vraiment comment nos photos étaient traitées et comment on pouvait détecter des retouches, choses devenant de plus en plus récurrentes de nos jours.
La photographie étant une de mes passions, j’ai donc pu apprendre des choses tout à fait passionnantes dans un domaine qui m’intéresse. Nous avons pu avoir un exemple concret et expliqué de ce à quoi peuvent servir les maths dans la vie de tous les jours de certaines personnes.
Mme Nikoukhah était très pédagogue et à l’écoute de nos remarques.
On sentait vraiment qu’elle est passionnée par ce qu’elle fait.
J’ai trouvé cette conférence intéressante tant du point de vue d’élève que du point de vue de passionné de sécurité informatique. En effet, on peut penser que les outils de détection de falsification constituent en réalité une arme de défense redoutable contre les fake-news.
De plus, Tina Nikoukhah est une personne ouverte à la conversation, qui interagit avec les élèves tout en prenant le temps d’expliquer de matière compréhensible des notions qui auraient pu paraître difficiles au premier abord. Elle a su rendre vivante et dynamique sa présentation, ce qui m’a permis de suivre sans problème toute la conférence.
Enfin, j’ai bien aimé le fait qu’elle utilisait des exemples concrets afin d’illustrer ses propos. J’ai énormément appris sur le monde de l’algorithmie liée à l’informatique et de l’imagerie numérique et je ne me rendais pas compte à quel point la mathématique était présente.
Cette conférence nous en a appris beaucoup sur le traitement d’image et principalement son lien avec les mathématiques. J’ai également appris que lorsqu’on fait ce qui nous passionne, on peut aller très loin, c’est le cas de Tina Nikoukhah, qui, grâce à son amour des maths contribue à la société.
Merci encore à Mme Allard, Mme Cuperlier et Mme Tina Nikoukhah dont le parcours fut motivant pour chacun de nous !

Concours Castor

Cette année, 139 élèves du groupe scolaire Sophie Barat ont participé au concours castor. C’est un concours national destiné aux jeunes de la sixième à la terminale. Il y a eu 698 449 participants sur toute le France pour cette édition 2022.
Son objectif est d’éveiller l’intérêt pour les Sciences du Numérique auprès des jeunes. Il montre comment l’informatique peut être amusante et variée, en couvrant plusieurs thèmes comme la représentation de l’information, la pensée algorithmique, des jeux de logique, etc. Il aide à comprendre les fondements de l’informatique, pas uniquement ses usages.
La classe de 6ème A s’est particulièrement distinguée avec deux élèves: Zoé et Rafael arrivés respectivement 4 754ème et 7 998ème sur 115 081. Leurs diplômes leur ont été remis par Madame Machetto, directrice adjointe du GSSB.
Bravo à tous les participants!

La Fresque du Numérique

Dans le cadre du cours de Sciences Numérique et Technologique, deux intervenantes bénévoles de l’association la Fresque du Numérique sont venues animer un atelier pour les élèves de 2nde Indigo.

Voici quelques phrases tirées du bilan que nous en avons fait. Nous avons retenu de cet atelier que le numérique n’est vraiment pas dématérialisé. « Il crée beaucoup de pollution et il n’est pas bon pour notre planète, il y a 47 milliards d’appareils technologiques dans le monde, ce qui correspond à 5 appareils par personne ». » Les appareils numériques consomment énormément de ressources qui se raréfient, ils finissent la plupart du temps dans des décharges sauvages et ils prennent trop de place dans nos vies ». »La fabrication d’appareils numériques pollue énormément. Aujourd’hui, ils ne sont pas bien recyclables ». »Nous avons beaucoup d’appareils branchés et au quotidien ils utilisent beaucoup d’électricité. »

Pour mieux protéger notre planète, nous voulons « prendre soin de nos appareils, les réparer quand ils ne fonctionnent plus ». »Redonner vie à mon matériel inutilisé, les donner et ne pas les conserver ou les jeter à la poubelle ». Nous voulons « acheter moins, acheter d’occasion, ou acheter durable ». »Economiser l’énergie, réduire la taille des écrans, faire preuve de sobriété numérique, débrancher les appareils lorsque l’on utilise pas (ex: le wifi) ». Nous voulons « sensibiliser autour de nous » !

Herbier, Désherbage et plantation de bulbes

Les élèves de 6ème de l’atelier « Sciences » sont sur tous les fronts !

Avec tout la verdure qui entoure l’établissement Sophie Barat, l’idée de faire découvrir aux élèves quelques-unes des espèces végétales que nous côtoyons sans même les voir, à travers la création d’un herbier, s’est tout de suite imposée.

La première séance de l’atelier sciences a donc été consacrée à quelques rudiments de taxonomie, la science qui étudie la classification des êtres vivants, pour savoir à quelle catégorie de végétaux nous allions nous intéresser. Ce fut également l’occasion de rappeler le vocabulaire simple de botanique, indispensable pour reconnaitre, à l’aide d’une flore, à quelle espèce appartient le spécimen récolté. Armé ensuite des indispensables flores, vint le moment d’aller choisir un spécimen de plantes à fleurs autour de l’établissement. L’endroit dédié au potager, laissé en friche depuis la fin de la dernière années scolaire, s’est avéré être l’endroit idéal pour herboriser, avec un grand nombre de plantes différentes dans un espace relativement réduit. C’est donc là que les élèves ont choisi leur spécimen -parmi les mal nommées « mauvaises herbes »- et tentèrent de l’identifier à l’aide des flores mise à leur disposition. Ces différentes plantes firent également l’objet de dessins, avant d’être mises à sécher entre deux feuilles de papier journal, feuilles qu’il a fallu changer tous les jours durant la première semaine, pour un séchage optimal de la plante, qui la préserve du moisissement.


Cette découverte de l’espace potager, associé à la vue des élèves très heureux d’être à l’extérieur au milieu des plantes et à la décision de ne prendre les élèves de l’atelier sciences qu’en demi-groupe m’a donné envie de passer plus de temps dans ce potager. Pour cela, la première chose à faire était de le défricher ! Deux séances ont été nécessaires pour venir à bout du désherbage de tous ces morelles noires, achillées millefeuilles et autre pissenlits qui avaient bien pris leurs aises sur ce terrain. En désherbant, les élèves ont eu la joie de découvrir les pommes de terre plantées par les jardiniers en herbe de l’année dernière, et de récolter les dernières tomates vertes sous la serre. Elles ont servi de matière première à deux délicieuses confitures, cuisinées par Clémence et Nina.

Deux jours pluvieux d’octobre ont été l’occasion de suspendre l’activité désherbage pour la remplacer par des recherches au CDI concernant les plantes récoltées : nom scientifique, famille botanique, propriétés…. Autant d’informations qui seront reportées sur les étiquettes de notre futur herbier.


Après avoir complètement défriché le potager, les élèves y ont planté quelques tulipes. Dans la foulée, ils ont appris à utiliser le plantoir à bulbes, afin de participer à la création de futurs massifs de fleurs devant l’établissement : iris, narcisses, tulipes et crocus ont ainsi été plantés en suivant le dessin des futurs massifs imaginés par les élèves du club Développement Durable. Cette activité a vraiment plu aux élèves, que les températures bien fraiches de mi-décembre n’ont pas du tout rebutés. Leur ardeur et enthousiasme à manier le plantoir faisaient plaisir à voir !
Enfin, la dernière séance de l’année fut consacrée à des semis de blé en pot. Pour cela, chaque élève a apporté un pot de yaourt en classe, afin d’y semer une dizaine de grains de blé sur un lit de terreau préalablement aplani. Chacun d’entre eux devait en prendre soin pendant les vacances de Noël, et observer jour après jour la croissance magique des jeunes pousses de blé. Une activité reliée au programme de Sciences de 6ème dans lequel sont abordés «l’origine de notre alimentation (issue pour une grande partie de cultures) », « le développement et la croissance des êtres vivants », mais aussi « l’origine de la matière organique des êtres vivants ». Autant de sujets que l’atelier sciences permet d’aborder de façon très concrète, hors de la classe. Ce qui plait beaucoup à nos scientifiques en herbe, comme le montrent bien les témoignages suivants :


J’ai vraiment aimé planter les bulbes avec le plantoir. J’adore faire du jardinage et j’ai déjà essayé de faire un potager à la maison, mais je n’y suis pas vraiment arrivée… (Gaétane)

Ce que j’ai préféré, c’est semer le blé dans mon pot de yaourt. (Léonie)
Moi aussi ! Parce que cela nous permet de savoir comment poussent les cultures, « en vrai » (Lou Eva)
Je suis content d’avoir semé du blé et de voir comment il va pousser. Mon oncle est agriculteur et j’ai déjà vu la moisson, mais jamais les semis de blé. (Adam)

Ce que j’ai préféré depuis le début de l’année c’est planter les bulbes ! D’abord parce que cela permet de sortir, et aussi parce qu’au printemps, on va voir le résultat de nos plantations en admirant les beaux massifs de fleurs devant l’accueil ! (Carla)

Moi j’aime beaucoup être dehors, jardiner… (Arthur)

C’est le désherbage que j’ai préféré. Le fait d’extraire la plante avec ses racines, de voir ces racines… de voir aussi le résultat de notre désherbage qui a permis de voir les différents espaces du potager qui disparaissaient sous les mauvaises herbes… je trouve ça satisfaisant ! (Mathis)

Moi j’ai trouvé l’activité désherbage amusante ! (Maël)

Ce que j’ai trouvé amusant, c’est quand on a observé des euglènes au microscope, et que comme elles bougeaient, il fallait les chercher en déplaçant la lame… (Mey)

Rencontre avec V. Delahaye, Sénateur de l’Essonne

Les élèves des classes de terminale suivant le cours de DGEMC (Droit et Grands Enjeux du Monde Contemporain), participent à un projet de rédaction d’une proposition de loi sur l’ environnement , organisé par l’inspectrice de la spécialité, en lien avec La faculté de Saint Quentin en Yvelines.

Dans ce cadre Monsieur le Sénateur Vincent Delahaye nous a fait l’ honneur de venir en classe pour échanger sur :

le parcours d’une loi

l’organisation du sénat 

son engagement

et répondre à nos questions.

Un grand merci ! Les élèves de la classe de DGEMC

PICKLES’

A stolen computer, a harrowing chase, a sweet love story, an old granny losing her memory… This is how the extraordinary Pickles’ group performed in our school.
The actors were close to the audience and showed great originality by their quick costume changes between each scene. We could only count three actors, but each of them played around three roles! Their ability to change costumes quickly, to put themselves in the skin of many people at the same time, was simply amazing.
The actors had taken two students from each class, offering them the opportunity to participate in the play by assigning them a small role, as a passer-by, a bartender, or even a narrator. In doing so, these students had the chance to be immersed in the play, to share the smile, the happiness of being watched under the spotlight of Theater.
The other students in the audience were also in some way integral to the performance, given the interactions they were involved in. From commenting on people’s clothing, asking if their mom was okay, to even laying on a few students, the grandma was extraordinarily entertaining, and the main source of smiles on the audience’s lips.
The actors came from different places (such as Quebec, California and New Zealand). Their accents were quite different but nevertheless understandable by French students who were not used to foreign accents. These differences translated into an unprecedented variety proving that difference makes unity. It’s thanks to a theater company that this trio had the chance to meet, despite the distance that separated them throughout the world.

Finally, in order to end this article properly, we would really like to thank all those who participated in this show with enthusiasm, whether they were in the audience, on the stage, from near or far, implicitly or explicitly…
We would also like to thank all those who made it possible for this play to be performed and to exist, and obviously, the actors!
For a bit of merriment and to illustrate that students happily played along with the actors, we took the lead in sharing a few words about their marvelous experience on stage.
Neyssa, 15 years old:
« As a student actor, it was an incredible experience to play on scene with only English-speaking actors that didn’t understand a single word of French. It really made us use our English skills and it was a new and refreshing way of learning how to act on scene for the play we were about to perform. At first, all of this was scary but the actors made us so comfortable and never put any pressure on us, so performing in front of 3 classes became so easy. Taking this opportunity was a really fun and memorable experience, thanks to the Pickles company. »
In French:
« En tant qu’élève acteur, ce fut une expérience incroyable de jouer sur scène avec des acteurs anglophones qui ne comprenaient pas un seul mot de français. Cela nous a vraiment fait utiliser nos compétences en anglais et c’était une façon nouvelle et originale d’apprendre à jouer sur scène pour la pièce que nous étions sur le point de jouer. Au début, tout cela était effrayant, mais les acteurs nous ont mis à l’aise et ne nous ont jamais mis la pression, si bien que jouer devant trois classes est devenu si facile. Saisir cette opportunité a été une expérience vraiment agréable et mémorable, grâce à la compagnie des Pickles. »

Theo, 16 years old:
« Spending time with this troupe was a challenge because we were not used to acting, and even less so in English. But the actors were very kind and supportive and gave us advice to help us feel better while we were stressed. Finally, thanks to them, we were able to play without being afraid and giving the best of ourselves, always staying serious. »
In French:
« Passer du temps avec cette troupe a été un défi car nous ne sommes pas habitués à jouer et encore moins en anglais. Mais les acteurs étaient très gentils et tellement rassurants en nous donnant des conseils pour nous aider à aller mieux quand on était stressés. Au final, grâce à eux, nous avons pu jouer sans avoir peur et en donnant le meilleur de nous-même et surtout en restant sérieux. »
Thelma, 15 years old:
“I loved doing this English comedy. At the beginning I was a little bit stressed (like the others) especially because we were going to pass in front of a lot of classes, but the actors gave us exercises to de-stress and that helped us a lot. It was funny, we also integrated well into the acting group. I am really happy to have played with them in this play; if I had to do it again I would definitely! »
In French:
« J’ai adoré faire cette comédie anglaise. Au départ j’étais un peu stressée (comme les autres) surtout parce qu’on allait passer devant pleins de classe, mais les comédiens nous ont fait des exercices pour déstresser et ça nous a beaucoup aidé. C’était drôle, on s’est aussi bien intégré à la troupe de comédien. Je suis vraiment contente d’avoir joué avec eux cette pièce de théâtre et si c’était à refaire je le referais ! »

An article written by Sara Maroto and Jeanne Reyssat,
January 4th, 2023.

Action de Noël

Vendredi 16 décembre, les élèves du groupe scolaire se sont retrouvés en classe pour partager un moment convivial autour du PARTAGE et de la SOLIDARITE.

Au cours de cet après-midi, plus de 250 boîtes cadeaux ont été réalisées à destination des plus démunis.

Ces boîtes seront distribuées lors des maraudes des équipes du SAMU Social de Paris pendant les fêtes et le mois de janvier.

Un grand merci pour la mobilisation de tous nos jeunes du 2nd degré.

Semaines des Solidarités

Du 18 novembre au 4 décembre a eu lieu le festival des solidarités au sein de l’établissement.

Cette année, de nombreuses actions ont eu lieu sur ces semaines, tournée vers la solidarité, à commencer par un cross solidaire, le vendredi 18, au profit de l’association Imagine for Margo avec laquelle nous nous sommes associés cette année.

Durant les deux semaines suivantes, des bénévoles de diverses associations sont venus rencontrer nos jeunes pour témoigner de leur engagement associatif.

Ces témoignages ont comme chaque année reçus un excellent accueil auprès de nos élèves, toujours plus nombreux à vouloir s’investir pour les autres.

Nous avons pu accueillir : Habitat et Humanisme, Amnesty International, les restau du cœur, CCFD terre Solidaire, …

Le 29 novembre a eu lieu l’opération Eclair Day, organisée par les élèves de STMG, au profit d’Imagine for Margo ; plus de 1500 éclairs ont ainsi été distribués au sein de l’établissement en partenariat avec la boulangerie de Verrières le Buisson.

Les actions menées au cours de ces deux semaines ont permis de récolter plus de 12000€, qui seront officiellement remis à l’association au mois de janvier.

L’établissement remercie chaleureusement les élèves pour leur mobilisation, les adultes et bénévoles qui ont permis la réussite de ces deux semaines.

A l’année prochaine pour de nouveaux défis…